Tu ne sais pas ce que
C’est d’être amoureux pour la première fois
Les riens les touts d’une vie sans reflets
Qui soudain prennent
Les mille éclats du soleil sur l’eau
***
Tu pleures et je
Me lamente sur l’or coulé pour rien
La folie des heurs d’été dans un souvenir
Et les espoirs
Les espérances, gâchées
***
Et les douleurs absoutes
Dans l’alcool et l’ivresse et la peur furieuse
Des heures vaines
Où je souffrais ta peau
Tes cheveux ton visage tes yeux ton sourire, ta lumière
***
Rentrant seul chez moi
Solitaire et misérable être perdu d’amour
Et pauvre place froide
Où ma vie se consume dans l’oubli
Et le souvenir…
***
Rien d’autre que toi, et sans toi
Mon âme s’abîme
Dans le souvenir
Je maudis les pages sourdes où je te mourais
De ne t’avoir connue
***
Maintenant je me recroqueville, souvenir
Et l’espoir est mort oublié
Noire est l’abysse où
Gis le moribond.
Je gis je vis de toi je meurs par toi je survis, pour toi
***
Rien, rien, rien, rien, rien, tout est de toi
Je voudrais crier le jour dans ma nuit
La lumière brille moins que l’obscur
Eclat de l’ombre. Enveloppe-moi une dernière fois et jetons-nous dans le néant
lundi 7 juillet 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire